dimanche 31 janvier 2010

Toi

Face à lui, tu deviens plus laid, Face à lui, tu me dégoûtes , Face à lui, ce qui m'excitait n'est plus.
Tu penses peut-être que je meurs de ton absence chaque soir, que ton corps me manque et tes caresses aussi, mais tu n'est plus, tu n'est plus rien pour moi.
Il a prit ta place dans mon cœur et dans ma tête. Vas tend loin de moi, vas tend tu n'es que douleur, tu n'es qu'un opportuniste qui se nourrit des sentiments des gens, vampire de lit, de nuit.

vendredi 15 janvier 2010

Je me pose cette grande question: où est ce que j'ai mit ce cahier bleu? celui qui était mon journal intime, un lien avec moi, j'aimerai le relire et peut-être même y écrire.

Je repense au livre de Duras, à L'amant, au sujet qu'elle ressasse, à son premier amour, voilà ce qui lui reste inlassablement en tête toujours présent dans ses souvenirs, est-ce ainsi pour tout le monde? penserais-je toujours à lui? écrirais-je un livre sur cet amour? Est-ce que je ne le commence pas ici?

Je comble son absence par les cigarettes. Je prends toujours plaisir à le voir, je me surprends à le regarder et je repense au temps passé avec lui, à son corps, il ne faudrait pas, mais ne plus voir ce "salut" apparaitre sur mon écran m'attriste, ne plus pouvoir me confier à lui, ne plus avoir ses doigts dans mes cheveux, ne plus pouvoir lui caresser le bras, poser ma tête sur son épaule, sur son torse.

Je ne peux pas l'oublier, il sera toujours là, il n'y aura rien à faire, il sera mon amant de la chine du nord, l'homme de la magnifique voiture, il sera mon premier amour.

dimanche 10 janvier 2010

Son odeur est là partout dans la pièce il me laisse là ainsi le sourire aux lèvres et la douceur de ces lèvres sur les miennes.Tout va vite en peu de temps nous sommes dans mon lit. Il dit qu'il a envie de moi. Lui entre mes hanches et je me laisse aller à son corps. Le mordre par passion, par plaisir, par vengeance.

Le poids de son corps sur le mieux, ses mains qui me caressent avec délicatesses et mes cheveux avec lesquels il ne peut s'empêcher de jouer .

Il pose sa tête sur ma poitrine et soupir, je lui caresse les cheveux les embrasse.

La tête sur son torse que je caresse de mes doigts j'aurai envie de lui dire reste avec moi, je veux l'emprisonner de mon corps, le garder pour moi juste.

Il part et me laisse un peu là comme une passion de quelques heures, comme une amie, comme une maitresse, comme celle qui commence à l'aimer.