jeudi 25 février 2010

Une semaine de cours plus tard et une balade entre mon lit et son lit tout les soirs et la fatigue est de nouveau là.
On devient le centre d'attraction des regards et surement des discutions. La discrétion n'est pas le fort des personnes qui nous entoure enfin plutôt qui m'entoure et de toute façon quand la prof d'anglais le sait tout le monde le sait.
Cela est étrange, comme si on volait notre intimité: "retournez-vous! on s'embrasse!". Quel est ce besoin de nous embêter, certes c'est drôle mais ne pouvez-vous pas arrêter, oui je suis avec mon gros sac à dos et je n'arrive pas du même coté que d'habitude et alors? Pas besoin de me le faire remarquer je sais d'où j'arrive, où j'ai passé la nuit.
Cela fait étrange, 3 semaines, qui sont en vrai passée bien vite. Je me surprends à avoir peur de me lasser de lui, de son corps, de dormir perpétuellement avec lui, mais je pense presque tout le temps à lui quand il est pas là, c'est peut-être juste l'euphorie du début qui se dissipe.

dimanche 14 février 2010

Je vis dans la guimauve

Depuis une semaine, mon environnement n'est que guimauve, meringue, bonbon rose et autres choses bien écœurantes à manger au bout d'un moment, mais j'aime bien et j'enchaine les indigestions.
Qu'il soit là me fait bizarre, j'ai peur que ça aille trop vite, que ce soit trop près de l'autre, mais avec lui je suis bien est ce que ce serait normal alors cette rapidité entre nous?
Tout le monde me dit qu'ils sont heureux pour moi, qu'ils ressentent qu'il est bien pour moi. Je n'en doute pas, pas un seul instant. Mais cette fusion entre nous me plait, me fait peur, me questionne, mais je l'aime cette fusion.
On parle déjà de vacances ensemble, de Bretagne, de "tu aimerais ma grand-mère" et autre qui fait penser au futur.
J'aime, mais j'ai peur, mais ses bras sont là pour me rassurer.